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Photo du rédacteurAFC BAS DAUPHINE

Avortements : la détresse psycho sociale desFrançaises

Malgré un fort désir d’enfants, le nombre d’avortements en France a encore augmenté en 2023. Les AFC alertent le gouvernement sur ces chiffres qui témoignent de la détresse psycho-sociale des femmes et des couples qui y recourent, alors que la valeur de la vie à naitre tend à s’estomper.

Le bilan des interruptions volontaires de grossesse vient d’être publié par la DREES. Le nombre d’avortements enregistrés en France en 2023, 243 623, est en hausse de 8 600 IVG par rapport à 2022 et atteint même son plus haut niveau depuis 1990. Ce nombre témoigne d’un phénomène de société important puisque les avortements représentent près de 37,6% des naissances enregistrées (376 IVG pour 1000 naissances). A titre de comparaison, l’Allemagne a un taux de 12% (120 IVG pour 1000 naissances) et l’Italie de 16% (160 IVG pour 1000 naissances).


La France est en tête des pays européens pour le taux de recours à l’avortement.

Les Associations Familiales Catholiques rappellent que l’accueil des enfants à naître doit être ardemment défendu, et qu’il existe des alternatives à l’avortement.


Elles soutiennent un changement de politique incluant en particulier :

- la lutte contre les facteurs de risque (pauvreté, déscolarisation) de recourir à l’IVG en cas de grossesse imprévue

- la mise en place d’aides matérielles et financières en faveur des mères en difficultés et de leurs familles

- la valorisation de l’accouchement sous le secret

- le développement de l’éducation affective, relationnelle et sexuelle des plus jeunes .


L’IVG est bien plus un indicateur de détresse psycho sociale qu’un totem

féministe.

Une autre politique est possible.

Communiqué de presse CNAFC.


Malgré un fort désir d’enfants, le nombre d’avortements en France a encore augmenté en 2023. Les AFC alertent le gouvernement sur ces chiffres qui témoignent de la détresse psycho-sociale des femmes et des couples qui y recourent, alors que la valeur de la vie à naitre tend à s’estomper. Le bilan des interruptions volontaires de grossesse vient d’être publié par la DREES. Le nombre d’avortements enregistrés en France en 2023, 243 623, est en hausse de 8 600 IVG par rapport à 2022 et atteint même son plus haut niveau depuis 1990. Ce nombre témoigne d’un phénomène de société important puisque les avortements représentent près de 37,6% des naissances enregistrées (376 IVG pour 1000 naissances). A titre de comparaison, l’Allemagne a un taux de 12% (120 IVG pour 1000 naissances) et l’Italie de 16% (160 IVG pour 1000 naissances). La France est en tête des pays européens pour le taux de recours à l’avortement. Les Associations Familiales Catholiques rappellent que l’accueil des enfants à naître doit être ardemment défendu, et qu’il existe des alternatives à l’avortement. Elles soutiennent un changement de politique incluant en particulier : - la lutte contre les facteurs de risque (pauvreté, déscolarisation) de recourir à l’IVG en cas de grossesse imprévue - la mise en place d’aides matérielles et financières en faveur des mères en difficultés et de leurs familles - la valorisation de l’accouchement sous le secret - le développement de l’éducation affective, relationnelle et sexuelle des plus jeunes . L’IVG est bien plus un indicateur de détresse psycho sociale qu’un totem féministe. Une autre politique est possible.

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